Démêler les effets de la testostérone sur la fonction sexuelle masculine

La testostérone, la principale hormone sexuelle masculine, joue un rôle vital dans la libido masculine. Des recherches récentes publiées dans Translational Andrology and Urology ont mis en lumière l’impact de la testostérone, en particulier dans le contexte de l’utilisation de stéroïdes anabolisants, sur la fonction sexuelle masculine. Ce blog explore les principales découvertes, les données démographiques et les implications de la thérapie à forte dose de testostérone, ainsi que le rôle de la thérapie post-cycle dans la restauration du bien-être sexuel. Rejoignez-nous alors que nous approfondissons ce sujet intrigant et découvrons la relation complexe entre la testostérone et la fonction sexuelle masculine.

Résultats de la recherche

L’utilisation de la testostérone peut avoir un effet protecteur sur la fonction sexuelle des hommes pendant qu’ils suivent un traitement. Cependant, des problèmes tels qu’une diminution de la libido et un dysfonctionnement érectile sont plus susceptibles de survenir après l’arrêt du traitement, en particulier chez ceux qui utilisent fréquemment des stéroïdes anabolisants ou qui les utilisent depuis longtemps. Cette conclusion a été tirée par des spécialistes américains dont l’étude a été publiée dans la revue Translational Andrology and Urology.

Les chercheurs ont mené une enquête en ligne auprès d’hommes qui prennent des stéroïdes anabolisants androgènes (AAS). Les participants ont été invités à fournir leurs informations démographiques, à répondre à des questions sur leur utilisation d’AAS et de médicaments supplémentaires, et à décrire tout symptôme lié aux changements de leur taux de testostérone au début et à la fin de la thérapie. Le questionnaire de l’indice international de la fonction érectile (IIEF) a été utilisé pour évaluer la santé sexuelle des participants.

Sur un total de 321 participants, 90 ne répondaient pas aux critères d’inclusion, ce qui a donné une cohorte d’étude de 231 utilisateurs de SAA.
La majorité des participants étaient d’origine européenne (85 %), avaient un emploi (62 %) et avaient moins de 35 ans (58 %). Parmi eux, 47 % étaient célibataires, tandis que 46 % étaient mariés.

Selon les résultats de l’étude, le score moyen au questionnaire de l’IIEF était de 22,5. Des scores plus élevés étaient associés à l’utilisation de doses plus élevées de testostérone (plus de 600 mg/semaine), à ​​l’utilisation de stéroïdes 17-alpha-alkylés ou d’anti-œstrogènes et à l’absence d’autres conditions médicales. Des scores inférieurs étaient liés à des symptômes de diminution des niveaux de testostérone (rapportés pendant ou avant le traitement par AAS), à une agressivité auto-perçue et à une tendance à la violence, à une dysfonction érectile auto-déclarée, à une diminution de la libido, à une activité réduite et à la dépression. Même après ajustement en fonction de l’âge, les symptômes de diminution des niveaux de testostérone et d’activité réduite sont restés significativement corrélés avec des scores IIEF inférieurs.

Parmi les 127 hommes qui ont déclaré avoir connu une diminution de la libido sans utiliser de SAA, ce symptôme s’est avéré corrélé à la fréquence et à la durée de l’utilisation de la testostérone, ainsi qu’à l’utilisation d’un traitement supplémentaire. Dans de tels cas, la thérapie post-cycle a aidé ces patients à retrouver leur santé sexuelle.

De plus, les hommes qui ont signalé d’autres symptômes après l’arrêt de la testostérone (tels qu’une réduction de l’activité, de la libido, de la masse musculaire et de la dépression) étaient plus susceptibles de signaler également une dysfonction érectile. Ces personnes ont généralement indiqué une utilisation à long terme de stéroïdes (plus de 10 ans ou plus de 40 semaines par an) dans l’enquête.

Les chercheurs ont conclu que les effets à long terme de fortes doses d’AAS sur la fonction sexuelle restent insuffisamment étudiés et nécessitent plus d’attention de la part des spécialistes. Ils ont également souligné l’importance de mener d’autres études à long terme sur l’impact de l’arrêt des médicaments stéroïdiens sur la santé sexuelle, en tenant compte des résultats obtenus dans cette étude.

Conclusion

En conclusion, des recherches récentes en andrologie et urologie translationnelles ont examiné les effets de la testostérone sur la fonction sexuelle masculine, en particulier dans le contexte de l’utilisation de stéroïdes anabolisants. L’étude a révélé qu’un traitement à forte dose de testostérone peut protéger la fonction sexuelle pendant le traitement, mais des problèmes tels que la diminution de la libido et la dysfonction érectile sont plus susceptibles de survenir après l’arrêt du traitement, en particulier chez les utilisateurs de stéroïdes fréquents et à long terme. Des facteurs tels que la posologie, les stéroïdes spécifiques et les conditions médicales existantes étaient associés à différents niveaux de santé sexuelle. La thérapie post-cycle s’est révélée prometteuse pour restaurer le bien-être sexuel des hommes souffrant d’une diminution de la libido. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour bien comprendre les effets à long terme et optimiser les stratégies pour la santé sexuelle masculine.
Comme nous pouvons le faire, le PCT est une partie essentielle des cycles AAS afin de maintenir votre libido au maximum. Dans notre magasin, vous pouvez trouver divers médicaments pour protéger, améliorer et restaurer votre bien-être sexuel. Nous travaillons avec divers fabricants tels que Hilma Biocare, Somatrop-Lab, Euro pharmacies, Beligas et bientôt, bien d’autres. Nos agents professionnels d’assistance à la clientèle sont toujours heureux de vous fournir des conseils professionnels et des suggestions sur le médicament le plus approprié pour vous. Prenez votre santé en main et faites l’expérience de la pompe ultime. Visitez-nous maintenant pour un voyage plus sain et satisfaisant.

Référence:
Armstrong, JM, Avant, RA, Charchenko, CM, Westerman, ME, Ziegelmann, MJ, Miest, TS et Trost, LW (2018). Impact des stéroïdes anabolisants androgènes sur la fonction sexuelle. Andrologie translationnelle et urologie, 7(3), 483–489. doi : 10.21037/tau.2018.04.23

La recherche complète peut être consultée sur : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6043738/